les origines de la crise économique de largentine en 2001

Jacques Le Cacheux, Conseiller scientifique à l'OFCE et professeur d'économie à l'Université Le pays était alors rongé par l’hyperinflation (en 1985 elle représentait 650 %) et la corruption. Durant son mandat qui ne dura que cinq jours, il définit un plan qui prévoyait notamment un plan d'économie drastique pour le budget de l'État, ainsi que la création d'une seconde monnaie (l’argentino). La crise ouverte argentine a été déclenchée en décembre 2001 par la mise en place du « corralito » (le gel des dépôts bancaires) et la suppression du versement d’une branche du prêt accordé par le FMI. Domingo Cavallo qui avait été le maître d'œuvre du système monétaire commença à réfléchir à une sortie du currency board. Depuis 2008, la récession économique mondiale s’est manifestée de manière spécifique en Espagne. Cela a soutenu la forte croissance des États-Unis. Le plan argentin de conversion de dette a pour conséquence des pertes sévères pour les créanciers privés. La résistance de ce modèle économique au sein duquel les travailleurs participent à la gestion de l’entreprise devrait valoriser l’ESS. La peur commence alors à gagner l'Amérique latine et en particulier l'Argentine. Depuis la fin 2003, ont lieu des pénuries d'énergie qui trouvent leur origine dans le taux de croissance relativement élevé de l'économie, le prix du pétrole également très haut, et le manque d'investissement dans les décennies précédentes dans l'infrastructure énergétique. Common crawl Common crawl Toutefois, aucun progrès n'a été accompli du fait de l'absence de capitaux d'amorçage et des difficultés économiques de l'Argentine en MultiUn MultiUn Économie de l’Argentine Après la crise de 2001, le pays renoue avec la croissance . La reprise économique est éga… Personne n'en sait rien. & Reynaud, J. Au début des années 30, la France se retrouve face à la crise qui prend différentes formes. Mais c'est la brutale remontée du dollar en 1998 qui met en difficulté tout l'édifice. Les particuliers et les entreprises peuvent détenir aussi bien des comptes libellés en peso qu'en dollar. Le premier groupe de créanciers à entrer en négociations pour le projet fut celui des créanciers argentins, dont une grande partie des titres de dettes portaient sur les fonds de pension (AFJP). Le processus de la conversion de dettes devait, à l'origine, débuter fin novembre 2004, mais il ne commencera qu'en retard le 12 janvier 2005. En fait, le changement existe bel et bien, mais il repose non seulement sur les politiques adoptées pour gérer la crise mais aussi sur le régime institutionnel hérité des années 1990. En fait, le changement existe bel et bien, mais il repose non seulement sur les politiques adoptées pour gérer la crise mais aussi sur le régime institutionnel hérité des années 1990. Cette crise vient de loin et de nombreux facteurs sont liés à celle-ci. Quand plusieurs de ses voisins importants ont dévalué leur monnaie (comme le Brésil), l’Argentine s’est retrouvé avec une monnaie surévaluée pour la région, ce qui a rendu plus chères ses exportations par rapport à celles de plusieurs pays latino-américains et aggravé son déficit courant. La base électorale du pouvoir est ébranlée. Depuis la crise de 2001-2002, les règles macro-économiques ont changé en Argentine. Réformer les rapports économiques pour préserver la paix | L'origine de la crise date du début des ... avec un point de chute en 2001, ... La hausse des prix devrait dépasser les 55% en 2019. Les résistances sociales à la déflation sont très fortes surtout de la part des administrations et des collectivités locales. En même temps la conversion forcée des comptes en dollar en peso dévalué fit perdre en une fraction de seconde une très grosse partie de leur épargne aux Argentins. Les prix de limmobilier seffondrèrent également pendant la récession, de 80% entre 1991 et 1998 (Herbener 1999) Le produit n… L'inconvénient d'une currency board c'est qu'il n'y a plus personne pour jouer le rôle de banquier de dernier ressort capable de fournir en liquidité les banques soumises à une ruée des déposants. En revanche le pays mena une véritable politique de rupture avec les bailleurs internationaux privés et les difficultés croissantes suscitées aux entreprises étrangères conduisirent nombre d'entre elles à se désengager du pays. On commence à observer un déficit budgétaire dans la période 1994-1997. Elu de justesse en 2015, ce dernier proposait de redonner un nouveau souffle au pays qui peine à sortir la tête de l’eau depuis la grave crise financière de 2001. Le déficit courant inexistant avant les réformes Menem, n’a cessé de se creuser parallèlement à l’endettement extérieur. Cependant, le président Duhalde annonça de nouvelles élections, afin que les institutions étatiques reprennent leur légitimité. Les tensions sociales deviennent extrêmes d'autant que la recherche de boucs émissaires étrangers bat son plein. En effet, la dévaluation du réal et l’entrée en crise de l’Argentine en 1999 vont entraîner le Mercosur dans une spirale conflictuelle intra-bloc qui atteindra son paroxysme durant l’année 2001 suite à la nomination, par le président De la Rúa, de Domingo Cavallo à la tête du ministère d’économie. En mai 2003, Néstor Kirchner, candidat de gauche du Parti justicialiste-Front pour la victoire, remporta les élections présidentielles. Le pays sort de la partie la plus aigüe de la crise dès 2003. Présentation des différents facteurs qui sont à l'origine de cette crise, le rôle du FMI, les conséquences de la crise dans différents domaines et la situation actuelle en Argentine. / Armborst, Stefan (Übersetzer): Bortot, F.: "Frozen savings and depressed development in Argentina". À priori, le système de caisse d’émission semblait fonctionner tout à fait convenablement en Argentine mais il est vite devenu évident que tel n’était pas le cas. Dossier : Ces réformes ont aussi entraîné une reprise des investissements étrangers. Les multiples maux de l’économie argentine. Le 24 mars 1976, le commandant en chef des armées, le général Videla, s'impose par pronunciamiento militaire. La croissance du pays était indirectement liée à sa capacité de générer des capitaux étrangers, ce qui s’est avéré fort difficile. Il fut élu président de l’Argentine le 24 février 1946 avec 56 % des voix. Cette indexation devait être remplacée par un mécanisme complexe couplant la valeur du peso non seulement au dollar mais aussi à l'euro[6]. Les origines de la crise Grecque ÉCONOMIE - La Grèce pèse 2% du PIB européen. De la crise économique à la crise politique À bien des égards, la crise – qui a été particulièrement sévère – n’y est pas seulement économique mais aussi politique et elle s’accompagne d’une perte de confiance dans la validité du « système espagnol » en vigueur depuis 1978. Les entreprises étrangères peuvent investir sans craindre les aléas monétaires locaux et conserver leurs encours en dollars. Il est vrai que l'Argentine est une Fédération et que les États ont pris souvent dans le passé des initiatives monétaires et que de nombreuses expériences de création de monnaies temporaires avaient déjà eu lieu. Mais la spirale était inexorable. Dans l’incapacité de résoudre la crise, le régime devint impopulaire et favorisa le retour du péronisme. Les revenus de l’État argentin n’ont pas augmenté puisqu’ils dépendent des revenus de la population et ces derniers sont en chute libre. À la suite d’une enquête judiciaire de plusieurs années faisant suite à une procédure déposée par un journaliste Alejandro Olmos, on a pu dire que la crise de la dette argentine (car il s’agit d’une crise d’endettement public) a pour origine un mécanisme de dilapidation et de détournement de fonds mettant en scène le gouvernement argentin, le FMI, les banques privées du Nord et la Federal Reserve américaine. L’Argentine est aux prises avec la pire crise économique depuis 2001. Les dirigeants font appel à des économistes de l’École de Chicago connus pour leur monétarisme pur et dur tandis que l'Argentine applique à la lettre les recettes du Fonds monétaire international (FMI), formalisées dans le « consensus de Washington ». Ainsi, la crise mexicaine et son effet « tequila » ont entraîné l’Argentine dans une crise financière brutale : les flux de capitaux internationaux refluaient massivement à partir de 1995. Ce système très particulier permet l'embellie des années 1990, mais se révèle particulièrement dangereux face aux mouvements erratiques et violents du marché des changes flottants qui suivent la crise économique asiatique. En effet, la rigidité du taux de change a eu pour conséquence que tout choc extérieur se répercutait fortement sur l’économie argentine. Certains éléments de la crise perdurent : le taux de pauvreté (23,4 % en janvier 2007 [réf. l'Argentine de la deuxième moitié du 19e siècle et du premier tiers du 20e siècle fut un des pays les plus riches au monde. À cette époque sont aussi créés beaucoup de cercles d'échange qui suivaient en partie l'idéologie de l'économie libre (économie sans intérêts), bien que la plupart se contentaient de pratiquer l'échange de biens alimentaires et de services, et ce dans le but de compenser la baisse constante du pouvoir d'achat (le salaire réel diminuant du fait de la forte inflation). Ainsi mesurait-on au début de l'année 2002 une récession de 10,9 % du PIB[11]. Après les élections de 1973 qui marquent le retour du péronisme au pouvoir, puis la mort du général Perón le 1er juillet 1974, pendant son troisième mandat, Isabel Perón, sa femme et vice-présidente, lui succède dans un climat de crise politique aggravée et marquée par l'affrontement entre l'extrême-gauche et l'extrême-droite. Cependant, faute de réconciliation nationale, d’un manque de résolution des problèmes fonciers et des conflits intercommunautaires sous-jacents, le contexte politique ivoirien n’a pas d’avenir serein. Fin 1994, l’enthousiasme pour ce développement rapide était général. Les dollars n'entrent plus assez dans le pays provoquant, par les mécanismes mêmes du "Currency board" une réduction de la circulation monétaire et un credit crunch. L'Argentine est entraînée dans une déflation sévère. La Turquie entre en crise à la fin 2000, l’Argen-tine en 2001 puis le Brésil à nouveau en 2002. Les propriétaires du campo (la campagne, c'est-à-dire les grands propriétaires terriens) et les entreprises qui exportent qui, par tradition et précaution, laissaient leurs avoirs à l'étranger, rapatrient l'essentiel de leurs réserves monétaires dans le pays. Les structures de l’ESS (associations, coopératives et mutuelles) sont peu touchées par la crise. Les régions refusent les sacrifices et créent des succédanés de la monnaie comme le patacón. Le chômage, la hausse du coût de la vie et l’exode rural drainant vers les villes les populations démunies, ont suscité un profond malaise social et politique. Fiche de défi Fiche 23 / 43 [>>] fiche suivante : Les origines de la crise économique de l’Argentine en 2001. Les origines de la crise Grecque ÉCONOMIE - La Grèce pèse 2% du PIB européen. Le FMI n'est pas la seule institution à aider l'Argentine : la Banque mondiale, la Banque panaméricaine, l'Espagne et même des fonds de pension apportent au total plus de fonds que le FMI. Le corralito a marqué la fin du régime du « currency board » et du système du président De la Rua. Celle-ci alliait, avec une certaine habileté, la répression, le populisme, l’attachement au catholicisme, le réformisme, le neutralisme et le nationalisme. (2006). En effet, le pays a affronté la pénurie des capitaux étrangers, l’effondrement des exportations, les difficultés d’approvisionnement en biens industriels. On parle de « miracle argentin ». Mouna Chidiac, Paris, 2004. Les systèmes monétaires d'Asie explosent en premier. Le 5 décembre 2001, le FMI annonçait qu'il refusait de transférer 1,26 milliard de dollars, comme prévu dans le plan Blindage, en affirmant que le plan « Déficit zéro » de Cavallo n'avait pas été mis en œuvre[8]. La crise sanitaire actuelle se distingue de l’état d’urgence qu’a connu la France de 2015 à 2017 : généralisées, les limitations de libertés sont devenues, pour un temps, la norme. La crise sanitaire va devenir une crise économique parce que le coup de frein est si brutal et durable qu'il va falloir aider le pays à redémarrer. Le retour de la démocratie en 1983 avec l'élection du radical Raúl Alfonsín est suivi de désordres économiques. Les finances du pays étaient en ruine et sur les 37 millions d’habitants, plus de 20 millions vivaient en dessous du seuil de pauvreté. Durant son mandat, la situation politique et économique se détériora rapidement (l’Argentine s’enlisa dans l’hyperinflation avec 500 % en 1975), de telle sorte qu’elle fut renversée en mars 1976 par un coup d’État conduit par le général Jorge Rafael Videla. » Les étrangers face à l’injonction permanente de justifier leur présence, L’Amérique Latine, des sociétés en pleine recomposition: quelques enjeux pour la construction de paix, La responsabilité des autorités politiques à l'égard de la paix, Réformer les rapports économiques pour préserver la paix, Réformer les relations politiques pour préserver la paix. En raison de la crise économique, les hommes d'affaires qui brassaient des millions ne brassent plus que des milliers. Après 2001 Pourquoi y a-t-il de nouveau une crise économique en Argentine ? Le nouveau régime de taux de change n'aurait par conséquent apporté que des inconvénients pour l'économie argentine, étant donné que la majorité du commerce extérieur de l'Argentine est réalisé dans la zone dollar et non dans la zone euro. Les pouvoirs publics chinois s'inquiètent de la puissance des groupes technologiques et plus particulièrement de leurs incursions dans le secteur des prêts en ligne. En 2006, ses usines fabriquaient plus de 900 000 téléphones portables et géraient environ 275 millions de composants par jour. Cinq présidents se sont succédé à la tête du pays en un peu plus d'un an. À la fin de la période de conversion des dettes, le 25 février 2005, 76,15 % des créanciers avaient accepté l'offre. Dans certains cas, l’ancien propriétaire fit appel à la police pour déloger les ouvriers des ateliers, parfois avec succès, souvent avec une résistance de la part des ouvriers. ( 2 ) Lire Carlos Gabetta, « Le lent naufrage de l’Argentine » et Jorge Beinstein, « Entre dette et pillage, une économie à genoux », Le Monde diplomatique, respectivement octobre 1999 et juillet 2001. Ce sont en réalité, comme presque partout dans le Tiers-Monde, les populations pauvres qui supportent la majorité de la pression fiscale : la TVA est passée de 14 à 21 % ce qui a frappé de plein fouet ceux qui consacraient la majorité de leurs revenus aux besoins de première nécessité, c’est-à-dire les plus pauvres. Après la fin de l'offre, des demandes isolées se firent entendre, aussi bien de la part de groupes de créanciers que du FMI, exigeant une nouvelle offre de conversion de dettes, ce qui fut rejeté par Buenos Aires. Le présent article se propose d’examiner, à l’aune du droit international des droits de l’homme, les principales mesures prises en France dans ce contexte à partir de mars 2020. La cause immédiate de la crise est le choix des autorités argentines, au début des années 1990, d'utiliser la technique du currency board (ou caisse d'émission) lié directement au dollar pour stabiliser une économie marquée par une inflation presque permanente depuis la Seconde Guerre mondiale. En 1943, intervint un coup d’État avec pour meneur le colonel Juan Domingo Peron. Le gouvernement argentin étudie actuellement[Quand ?] Quelques entreprises autogérées ont été maintenant acquises légalement, d’autres sont toujours occupées par les employés sans statut légal vis-à-vis de l’État, argumentant que leur travail productif justifie cette situation. La période des années 1990 s’est caractérisée par deux séquences : de 1991 à 1997, l’Argentine a vu sa croissance atteindre 8 % et on évoquait même le « miracle argentin » ; et de 1995 à 2000 où la croissance a disparu. Incapable d’enrayer l’inflation, l’armée instaura un régime répressif caractérisé par l’élimination systématique des opposants qui furent l’objet d’enlèvements. Par ailleurs, ce système de change a conduit progressivement à une surévaluation du peso et à la perte de compétitivité des entreprises. Le flottement du peso et les conséquences de la crise, Sortie progressive de la crise et problèmes persistants, l'Argentine parvint toutefois à convaincre la plupart des groupes de créanciers, sauf les Allemands et surtout les Italiens, qui s'opposèrent au projet jusqu'au bout, aucune juridiction allemande n'est précisée, représentant une source d’emploi et une croissance économique non négligeables. L’Argentine a dû alors débourser des sommes sans cesse croissantes pour rembourser sa dette alors que les revenus gouvernementaux se faisaient dramatiquement rares (l’évasion fiscale était démentielle) et que le peso était surévalué. L'origine de la crise financière des subprime (2007-2008) viendrait de la déréglementation aux USA, mais en réalité ce sont les titrisations des dettes accordées à des ménages peu fortunés qui ont été à la base des actifs toxiques des banques européennes ! Aujourd'hui il est clair que l'euro, après avoir atteint la parité avec le dollar, a continué d'augmenter. Le gouvernement argentin excipait des latitudes constitutionnelles des États régionaux. La libéralisation imposée par le FMI permettait une évasion fiscale de plusieurs milliards de dollars par an tandis que l’État argentin, surendetté, fut contraint d’emprunter à des taux insoutenables sur les marchés internationaux. Moins fortes qu’en 2001, la crise monétaire et l’inflation affaiblissent tout de même le pays depuis plus d’un an. Le refus de quelques gouverneurs de provinces de le soutenir dans sa politique économique le poussa finalement à se retirer le 31 décembre 2001. Les conséquences les plus durables sont les difficultés récurrentes des gouvernements à financer leurs budgets, le départ du pays de certains investisseurs industriels, une nette diminution de la confiance des créanciers privés et de longs contentieux avec des fonds vautours américains, contentieux qui se poursuivent jusque dans les années 2010. Retour sur le déroulement des faits et leurs conséquences. Le ministre de l'Économie Roberto Lavagna insista plusieurs fois sur le fait que ceci serait l'unique et dernière offre proposée par l'Argentine aux créanciers. Le Patacon dans la région de Buenos Aires fut une de ces monnaies de circonstances qui fut émise en très grande quantité à la fin des années 1990. Le cours du peso continuait à varier, et atteignit vers le milieu de l'année des valeurs de près de 4 pesos pour un dollar, valeurs auxquelles il stagna grâce au soutien de la monnaie mis en place par la Banque centrale. Toutefois, la seconde partie des années 1990 fut tragique pour l’Argentine. Avoir laissé la possibilité de création d'un succédané de monnaie était évidemment totalement incompatible avec le currency board et permettait aux régions de conserver de hauts niveaux de dépenses. Il a conservé une banque centrale. 2.3.3. La montée du chômage consécutive à la crise de 1929 favorise, là encore, l’essor de discours antisémites et anti-immigrés, comme l’illustre l’affaire Stavisky en 1934 (Blanc-Chaléard, 2001, p. 40-41). »[3]. Il y avait donc déjà un chômage d’offre avant que les effets de la crise mexicaine ne viennent ajouter des difficultés à la situation argentine. L'ouverture des banques fut interdite plusieurs jours, afin d'enrayer la vague d'achat de dollars. L’Amérique Latine, des sociétés en pleine recomposition: quelques enjeux pour la construction de paix. Du fait de l’ouverture rapide de son économie, l’Argentine était également vulnérable sur le plan extérieur à cause de sa difficulté à concilier politique budgétaire et politique monétaire. Dès le milieu de l'année 2003 puis les années suivantes, la croissance économique montre des valeurs élevées, ce qui doit avant tout être attribué aux effets positifs de la dévaluation, qui renforce les exportations et favorise la substitution des importations par les produits de l'industrie argentine. Dévaluer le peso n'est pas possible car tous les comptes sont libellés dans la double monnaie dollar et peso, les contrats ayant été signés en partant du principe que les deux monnaies étaient définitivement à parité.

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